Cette adaptation, inspirée par le Bunraku, art de scène japonais, insuffle au texte de Molière une belle dose de modernité et de délire. Comédiens, grandes marionnettes, jouets à ressorts, automates et robots téléguidés… tous se rencontrent et s’entremêlent. Une féérie musicale sur la manipulation et la tentative de s’acheter du bonheur.