« Je veux bien suivre un chemin, mais sans qu’il y ait des murs sur les côtés » prévient l’intéressé. Bertrand Belin navigue dans la pop comme un élégant usurpateur. Le français, poétique ; la voix, grave ; l’instrumentation, anglo-saxonne. On pense à Bashung ou Gainsbourg, au début, et puis après, on ne pense plus et on écoute. Son quatrième album, PARCS, est un appel au grand large de la part d’un aventurier de la chanson française.