Aux confins de l’Ethiopie, Hans Silvester a su saisir les corps, les visages pigmentés de cendres et de fleurs. Beauté primale d’une peuplade fragile et esthète, nous sommes émerveillés par ces sublimes photographies.
Il nous donne à voir un ensemble de photographies des peuples de la vallée de l’Omo dans lequel on retrouve l’humanité qui caractérisent toute son oeuvre. En 2011 il en sera à 25 séjours en Ethiopie.
« Je crois que nous sommes importants, nous, les derniers photographes libres, nous constituons des documents qui inspirent l’information. Si la famille des photographes-arpenteurs disparait, le monde s’appauvrit. »