Le mouvement perpétuel du pendule sans visage

«Pour le peintre Jean-Luc Blanc, il n’y a pas de mystère sur l’origine des images. Celles qu’il choisit, il les sélectionne en été dans des magazines bas de gamme. Issues de la publicité,
du cinéma d’épouvante ou de manuels
scolaires des années 60, sa génération, il les découpe, les recadre… pour les peindre en hivers. (…) Il considère que ses peintures réalistes fonctionnent comme les cut-ups de Burroughs. Désormais hors contexte, elles contiennent une nouvelle dynamique, qui
permet au spectateur de les lire sous un angle inédit.» (Nicolas Tremblay in Numéro, n°68
novembre 2005)

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