Evènement associé : D'un monde à l'autreAYO (Allemagne/Nigeria)
La révélation soul de l’année !
AYO est une métisse germano-nigériane, un métissage culturel comblé par des origines partagées entre l’occident et l’Afrique. Jeune prodige auteur, compositeur et guitariste, AYO est une sorte de Ben Harper au féminin, une artiste qui réunirait la féminité d’Erikah Badu, la sensualité de Sade, le folk de Tracy Chapman.
La musique d’Ayo est un mix de soul, de folk, de reggae, de jazz et d’afro et cela sonne comme une unité naturelle. Chaque morceau retrace une histoire de sa vie, des mots simples et bruts pour parler de l’Afrique ou se raconter elle-même.
DJUR DJURA (Algérie)
La grande chanteuse berbère ambassadrice de la cause
féminine.
A la fois cinéaste, écrivaine, chanteuse et fondatrice du groupe berbère Djur Djura, cette femme d’exception consacre sa vie et son talent à défendre les valeurs et les droits les plus élémentaires. Elle sait marquer son temps de son empreinte, avec son arme de prédilection « les mots en musique » et rend hommage à la riche étendue de l’expérience des femmes et des hommes libres. Son parcours est celui d’une algérienne qui a toujours voulu se souvenir : souvenir des montagnes de Tizi-Ouzou, de l’histoire du peuple Berbère, de sa fierté, de son refus de baisser la tête et de se laisser humilier, … S’opposant à son père, elle se bat pour aller à l’école et à la faculté. Après une maîtrise en Arts plastiques, elle devient réalisatrice de cinéma : « Algérie Couleurs », « Ciné Cité » et « Ali au pays des merveilles », film étudié à l’Université. Djura ressent alors le besoin de s’exprimer autrement : elle veut dire, soutenir son idéal par les mots. C’est le début d’une longue carrière que la sacrera « grande chanteuse berbère » et ambassadrice de la cause féminine. Elle devient DJURA et parcourt le monde. Elle sera la première artiste maghrébine à s’imposer à l’Olympia. Dotée d’une vitalité hors du commun, d’une volonté de fer, Djura est aussi la parole et l’action, le défi et l’humour. La densité de ses textes fait de ses chansons le porte drapeau de la femme kabyle.