BOUCHOUKA et LA FEMME QUI PARLAIT A SA ROBE DE CHAMBRE

La compagnie Quat’Conscience vous propose deux spectacles pour le prix d'un :
BOUCHOUKA et LA FEMME QUI PARLAIT A SA ROBE DE CHAMBRE

BOUCHOUKAb
Epopée comique d’un vilain,
Road-movie sans voiture de Myriam Boudenia
Mise en scène et jeu : Myriam Boudenia
Assistantes à la mise en scène : Tiphaine Sintès et Claire Néel
Création lumière : Amélie Verjat
Musique originale : Michel Alexandre et François Thollot

Bouchouka ( Père l’épine en français ) est un héros du folklore algérien. La pièce raconte le périple de cet homme roublard et sans scrupules à la recherche de l’épine qu’il avait sous le pied. Ses aventures sont racontées par un conteur qui, à travers cette fiction, se raconte lui-même, ravive des souvenirs enterrés et creuse un chemin intérieur pour trouver d’où l’on vient et où l’on va. Quête des origines, lien entre les fantômes du passé et les morts de
demain, « Bouchouka » est un voyage initiatique drôle et cruel mené par un conteur en transit permanent pour s’inventer une généalogie et un pays de cœur.


LA FEMME QUI PARLAIT A SA ROBE DE CHAMBRE
Monologue de Stani Chaine
Mise en scène et jeu : Claire Néel

« Je te parle parce que j’adore la conversation. Même si ma tête est une terre plus du tout vierge et qui ne tourne plus du tout rond, ma pauvre ! »
La Femme qui parlait à sa robe de chambre est un monologue de Stani Chaine, un écrivain lyonnais résidant à Alger. Il met en scène une femme mi-algérienne, mi-française, s’agitant à des tâches désoeuvrées ou se désoeuvrant à des tâches agitées. Elle n’a pas d’accent sauf de sincérité et déblatère sur Alger, l’amour, sa mère, la politique, la queue pour l’essence, l’eau, le tiliphoune…
avec tendresse, violence et espoir. Un regard sur la vie.

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