DVORAK Stabat Mater
Solistes de Lyon-Bernard Tétu
Marie-Josèphe Jude, piano
Bernard Tétu, direction
C'est après la mort de trois de ses enfants que Dvorák composa son Stabat Mater, en 1876. Cette évocation sonore de la souffrance d'une mère devant son fils sacrifié oscille entre la peine, parfois presque insoutenable, et le calme ou la sérénité, voire l'espoir, la foi, la lumière.
On ne peut qu'être ému par la pureté et la profondeur qu'amène la palette des couleurs chambristes de la version originale pour piano de l'œuvre (la célèbre version orchestrale est en effet postérieure à celle-ci).