DULAC

Variété pop acoustique fantomatique
Avec
- Véronique Bettencourt : chant, textes
- Fred Bremeersch : musique, textes, guitare, chœurs
- Guillaume Ponroy : guitare, chœurs

Vertige du vide et brûlure de la flamme. Intemporel, onirique, cruel, mélancolique, ironique... Musique sobre et mouvante. Peut-être.
Une femme. Deux hommes. Des fantômes

Dulac est né en 2007.
Un texte de Monique Apple "Le fantôme frileux" pour un film de Véronique Bettencourt "L'expérience aérienne" est à l'origine de la première chanson.
D'autres chansons suivront toujours inspirées
de la prose de Monique Apple et puis des textes
qui viennent de nulle part vont naître. La folie est évoquée, l'âme plonge en son propre centre, tente de se saisir dans ses révoltes, ses fuites, ses abandons et travaille à parfaire son imperfection même.Voilà un répertoire.

« […] des histoires de fumée, d'éphémère, de tension, d'inconfort, d'improbable, chantées par une voix éthérée dans sa douceur, charnelle dans ses accents, cinglante dans ses mots.
C'est un chant paradoxal flanqué de guitares joyeuses et fatalistes, enjôlée par une musique poussant, comme un temps incarné, au désir, au remords, à l'oubli et à l'erreur.
Dulac, c'est aussi dans la vraie vie des concerts une Solange mi tellurique, mi idéelle, fixée sur ses pieds, puis ondulante jusqu'à ses doigts qui dissolvent dans l'air les incertitudes des paroles et la sensualité des tensions. C'est aussi deux guitaristes, un choeur qui n'annonce aucune tragédie à venir, mais accompagne la chanteuse vers ses regrets ou ses champs d'honneur. » Damien Gayet

« Dulac, c’est, comment dire…, un jeu de reflets délicats, de miroitements infinis, de scintillements retentissants.
Dulac convoque les éléments farouches et sublimes et nous entraîne absolument vers les fleurs.
Fleurs capiteuses ou abstraites, sifflotantes ou sévères, funèbres ou nonchalantes, qui étoilent des univers inouïs.
Les arpèges rigoureusement capricieux, les scansions suavement impérieuses et la grande fille debout nous font des révélations célestes et flamboyantes.
Ciel d’oiseau à la mythologie incertaine et flamboiement de velours mûr.
Mais je n’en suis plus très sûre. » Mireille Vernet

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