Imaginez que Léo Grise est, à l’instar d’Obélix, tombé dans la marmite bouillonnante de la musique quand il était petit. Il est bercé par Graeme Allwright, réveillé au « Alan's Psychedelic Breakfast » (Pink Floyd), nourri par George Brassens et fortifié par Sonic Youth à l’adolescence. Fort de ces influences, au lycée, Léo Grise écrit et enregistre 2 albums (S.O.S. tone et Cinquième) alliant textes et musique psychédélique tout en participant à un groupe de chanson française, Taï-Me, comme chanteur et guitariste.
Curieux des autres formes artistiques, Léo Grise plonge dans les images de Stanley Kubrick, d’Enki Bilal et de Moebius, ainsi que dans la littérature française, Boris Vian, Balzac, Maupassant … Il décide alors d’allier la musique électronique à la langue française. Il en résulte un répertoire d’une quinzaine de morceaux qu’il produit en concert sur Lyon notamment. Les machinations, ensemble de 9 morceaux dont 2 instrumentaux, est le premier album suivant cet esprit. L’écriture d’un deuxième album, Electro et chats pendus, est en cours.